Anne Levillain aime travailler le fil de métal, qu'elle assemble, tisse, tord, noue. De ses mains naissent des univers graphiques.

La peinture épaissit le trait, fait vibrer les lignes. Notre oeil se perd dans ces parcours qui se croisent et se poursuivent. Le temps semble s'arrêter pour mieux nous surprendre. Au-delà de la réflexion sur la ligne et le trait se dégage une fragilité. Ce sont des miroirs, miroirs d'ombre, ombres de dentelles. Ce sont des liens, des réseaux qui dialoguent en allant de l'intime à l'universel.
Exposition visible jusqu’au 15 mars 2020 à l’espace le Hall.
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